Cette nouvelle couronnée par le prix Jean Lebon 2005 est suivie d’un ensemble de douze nouvelles brèves. Un regard sur le quotidien de ces êtres que nous côtoyons sans les connaître, sans nous douter des secrets qu’ils portent. Histoires parfois amères, comme le café noir sans sucre...
Née en Belgique, dans la province du Hainaut, où elle vécut de longues années, Agnès Schnell était professeur de l’enseignement technique. Elle a étudié cinq années au Conservatoire Royal de Mons, en section littéraire. Après un séjour en Afrique, elle habite maintenant les Ardennes françaises, non loin de Charleville-Mézières, où elle enseigne le Français langue étrangère. Plusieurs fois primée en 2003 pour ses poèmes, en 2005 pour une nouvelle, Agnès Schnell se consacre surtout à l’écriture. Membre de la Société des Écrivains Ardennais, elle est publiée régulièrement dans plusieurs revues : L’Inédit Nouveau, Le chant de la Grive, Délits de poésie, Jalons...
Deux recueils de poèmes,
Poème à crier et De terre et de bleu ont été publiés aux Éditions Poiêtês en 2005 à compte d’éditeur.